Des violons de l’automne d’une langueur monotone Posté le8 novembre 2018 Auteur span>Gilles Bertin2 Commentaires
C’est la seule trace qui reste de la grosse remorque chargée de bois qui était stationnée là les années précédentes. Répondre
Merci. J’aime bien le moellon au premier plan.
C’est la seule trace qui reste de la grosse remorque chargée de bois qui était stationnée là les années précédentes.